Le colombier et l’arbre sont situés sur une ancienne ferme, la ferme de Kernaudour.
Depuis plus de 20 ans, la ferme a laissé place au Parc de Loisirs Armoripark. Les bâtiments de
l’époque (grange, habitation, four à pain, lavoir...) ont été conservés et aménagés. De plus, le
colombier et son arbre remarquable sont l’emblème de la Ville de Bégard.
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Certains experts naturalistes vous diront peut-être que la glycine de Chine n’est pas un arbre mais une plante grimpante.
Pourtant, cette demoiselle langoureuse au parfum entêtant, qui enlace le porche historique de l’hôtel Ragueneau, a beaucoup d’amants et d’admirateurs secrets chez les Bordelais. Chut ! Ne leur dites pas que la belle a déjà plus de 150 ans !
Cette glycine également appelée «l’arbre mauve» participe au charme du centre
historique de Bordeaux et fait partie des repères des habitants. A la frontière entre la ville cachée,
qui se livre au passage de porches historiques, et la ville familière, qui se dévoile depuis l’espace
public, cet arbre mauve fait partie du quotidien et du patrimoine bordelais.
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La rencontre se mérite ! Une heure et demie de montée, et une arrivée sur le plateau de Coyan battu par les vents, où se racontent des histoires
de bergers solitaires et de loups sanguinaires. Mais il en faut beaucoup plus pour décourager émilie et sa troupe de théâtre, qui propose là-haut des pièces où l’arbre est acteur principal. Action !
C’est une sorte de vigie sur le plateau du Coyan qui domine notre commune. Nous organisons des
randonnées vers cet arbre sur lequel ont toujours circulé de nombreuses histoires vraies ou légendaires.
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28 mètres de haut, 14 mètres de circonférence, 540 ans : monsieur est un seigneur !
Apporté par les croisés de Jérusalem, il ne lui faut pas moins qu’une cour d’honneur pour étaler son ombre de plus de 1 000 m2. Aujourd’hui, baissant la garde, il consent à converser avec les enfants accueillis en vacances au château Le Kinnor par Jean-Claude, maître des lieux.
L’arbre est situé dans la cour d’honneur du château, centre d’hébergement et lieu
d’accueil de loisirs et de culture pour tous où la musique domine. L’arbre a été labellisé «Arbre
remarquable» en 2003 par l’association A.R.B.R.E.S.
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Nous sommes à Bertranges, tout près de Chaulgnes. Toute la forêt est occupée par des chênes. Toute ? Non ! Un beau platane commun résiste encore et toujours à l’envahisseur. D’ailleurs, la résistance, ça le connait ! Sous ses branches s’est organisé, en 1944, le maquis Bernard, libérateur de la ville de Chaulgnes. Liberté quand tu nous tiens !
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En arrivant à l’abbaye des Trois-Fontaines, impossible de rater les vingt mètres de haut du beau magnolia. Cette superbe boule rose, entretenue avec amour par les Amis de l’abbaye, réveille le romantique qui sommeille en chacun de nous.
Ruines cisterciennes, arbre merveilleux et fleurs en offrande… à vous de rêver !
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Au coin du feu, les anciens racontent que des êtres étranges veillent, par-delà les âges, à la paix des bocages du Berry. À n’en pas douter, le vieux chêne de Saint-Civran en est un. Marie-Claude, l’historienne de la commune, le sait bien, et s’assied contre lui pour entendre des histoires d’un autre temps. Il était une fois, au pays de George Sand…
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Les Corses vous l’affirmeront : consommer régulièrement de l’huile d’olive est la meilleure manière de vieillir en bonne santé.
Comment en douter quand on rencontre un ancêtre en si grande forme : 300 m de houppier, une production de 300 kilos d’olives par an, cet olivier millénaire n’est pas près de prendre sa retraite !
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Ce tilleul est un dur, un de ceux qui traversent les épreuves avec courage. Planté sur ordre de Charles le Téméraire en 1477, il fut ensuite abandonné et lutta seul contre les éléments. Aujourd’hui, le village de Bracon l’a pris sous sa protection. Reconnu d’utilité publique, le tilleul a même réussi à détourner la route communale. Costaud !
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Entre ses longues racines, on aperçoit encore les murs de l’ancienne prison de Petit-Canal, port où débarquaient les esclaves durant la traite négrière. Maintenant, ne restent que des ruines, l’histoire d’un peuple, et la victoire d’une petite graine, germée il y a 120 ans,
qui a donné naissance à ce beau figuier de 25 mètres. « Maudit », vous êtes sûr ?
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