Concours de L’Arbre de l’Année — Concours de L’Arbre de l’Année

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Le platane d’Orient de Fervaques

28 mètres de haut, 14 mètres de circonférence, 540 ans : monsieur est un seigneur ! Apporté par les croisés de Jérusalem, il ne lui faut pas moins qu’une cour d’honneur pour étaler son ombre de plus de 1 000 m2. Aujourd’hui, baissant la garde, il consent à converser avec les enfants accueillis en vacances au château Le Kinnor par Jean-Claude, maître des lieux. L’arbre est situé dans la cour d’honneur du château, centre d’hébergement et lieu d’accueil de loisirs et de culture pour tous où la musique domine. L’arbre a été labellisé «Arbre remarquable» en 2003 par l’association A.R.B.R.E.S.

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L’Arbre de Quenouille du plateau de Coyan

La rencontre se mérite ! Une heure et demie de montée, et une arrivée sur le plateau de Coyan battu par les vents, où se racontent des histoires de bergers solitaires et de loups sanguinaires. Mais il en faut beaucoup plus pour décourager émilie et sa troupe de théâtre, qui propose là-haut des pièces où l’arbre est acteur principal. Action ! C’est une sorte de vigie sur le plateau du Coyan qui domine notre commune. Nous organisons des randonnées vers cet arbre sur lequel ont toujours circulé de nombreuses histoires vraies ou légendaires.

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La glycine de Chine de Bordeaux

Certains experts naturalistes vous diront peut-être que la glycine de Chine n’est pas un arbre mais une plante grimpante. Pourtant, cette demoiselle langoureuse au parfum entêtant, qui enlace le porche historique de l’hôtel Ragueneau, a beaucoup d’amants et d’admirateurs secrets chez les Bordelais. Chut ! Ne leur dites pas que la belle a déjà plus de 150 ans ! Cette glycine également appelée «l’arbre mauve» participe au charme du centre historique de Bordeaux et fait partie des repères des habitants. A la frontière entre la ville cachée, qui se livre au passage de porches historiques, et la ville familière, qui se dévoile depuis l’espace public, cet arbre mauve fait partie du quotidien et du patrimoine bordelais.

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Le chêne bonzaï

Le colombier et l’arbre sont situés sur une ancienne ferme, la ferme de Kernaudour. Depuis plus de 20 ans, la ferme a laissé place au Parc de Loisirs Armoripark. Les bâtiments de l’époque (grange, habitation, four à pain, lavoir...) ont été conservés et aménagés. De plus, le colombier et son arbre remarquable sont l’emblème de la Ville de Bégard.

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Le phare de la Queyrie

Nous sommes un groupe informel de randonnée à pied, à raquettes et à skis de fond et nous nous régalons dans ces grandes étendues du Vercors, que nous parcourons en tous sens et en toutes saisons. La plaine de la Queyrie est notre endroit préféré.

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Les tamarins des Hauts

C’est une post-pionnière incapable de se régénérer en sous-bois, car ses graines ont besoin de la pleine lumière pour germer. Accumulées dans le sol pendant des décennies, celles-ci peuvent sortir de leur dormance en masse et contribuer de cette manière au caractère grégaire de l’espèce. Les colonies de tamarins s’épanouissent ainsi, lorsque se forment des trouées dans la forêt, à la suite de cyclones, d’incendies ou d’exploitations forestières. Le tamarin est le premier à coloniser les sols mis à nu par les incendies. Malgré son aspect tortueux, son port reste majestueux et vigoureux. Il peut vivre plusieurs siècles. Symbole de puissance et d’énergie, l’arbre ne s’épanouit qu’en présence d’Hélios, dieu du soleil. Son feuillage varie au fil de son existence. D’abord composées – une feuille est formée par plusieurs petites feuilles –, les jeunes feuilles disparaissent pour laisser place à des feuilles adultes en forme de lames, appelées phyllodes. À l’âge adulte, notre seigneur resplendit par la clarté de son écorce, son feuillage effilé clair-bleuté et son couvert léger. Tout cela offre aux tamarinaies une ambiance fantasmagorique à la lumière délicatement tamisée. Malgré son tronc souvent tordu, le tamarin fournit un bois d’oeuvre, aux belles teintes jaune clair à brun rouge, très recherché en ébénisterie. Son grain fin donne un poli remarquable aux meubles. Ce bois précieux a livré ses lettres de noblesse à l’artisanat réunionnais. Emblème du patrimoine culturel et naturel réunionnais, il est surnommé « chêne de Bourbon ». Tradition et modernité doivent donc aujourd’hui se croiser pour que se perpétue, à travers les marmailles – enfants –, ce métier du Tan Lontan : bardeautier (patrimoine réunionnais).

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Le tilleul de Provence

Il se trouve dans ma propriété, la Ferme Fontaine de Crème sur la commune de Banon, dans les Alpes-de-Haute-Provence. Il représente l’élément majeur et principal de ce site paisible et intact, sur lequel coule une source. La Ferme Fontaine de Crème était un site où se développaient diverses activités artisanales, dont des poteries destinées aux pèlerins, en guise d’offrandes. Des pièces archéologiques ont été retrouvées sur la propriété et sont toujours visibles au musée d’Apt. Cette propriété fait partie d’un site archéologique. À proximité, un oppidum, datant de 500 ans av. J.-C., était le site de culte d’une divinité guérisseuse qui donnait lieu à deux grands pèlerinages par an.

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Le chêne vert de François Ier

Le chêne de François Ier est un des nombreux trésors cachés de la vallée de l’Antenne, que notre association se voue à découvrir, révéler, préserver.

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Le hêtre tortillard de Verzy

Très difficile pour nous de faire un seul choix. Mais cet arbre-ci est particulièrement beau et original. Étant donné sa fragilité et sa délicatesse, nous sommes dans l’obligation de le mettre en scène avec les éléments naturels.

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Le kaori blanc de la rivière bleue

Nous avons vécu cinq mois en Nouvelle-Calédonie, où nous avons pu visiter un parc naturel à deux reprises. La première fois, à la fin de l’été, l’arbre était entièrement visible : nous avons été éblouis par le contraste de cette terre si rouge et cet arbre isolé. Quand nous sommes revenus, au début de l’automne, il était totalement immergé. Le contraste était frappant. Nous étions plus qu’étonnés.

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